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Publish date: 2024-03-11

Edgar Morin est un philosophe et sociologue français de la théorie de l’information renommé pour ses travaux sur la complexité et la « pensée complexe ». Il est également connu pour ses contributions scientifiques dans de nombreux domaines comme la politique, la sociologie, l’anthropologie visuelle, l’écologie, l’éducation et la biologie des systèmes.

Wikipédia, biographie d’Edgar Morin

Origine 

Edgar Morin est originaire de Paris, France. Au début du 20e siècle, la famille de Morin quitte la ville ottomane de Salonique (Thessalonique) pour Marseille, puis Paris, où Edgar est né.

Quand les Allemands envahissent la France en 1940, Morin aide les réfugiés et rejoint la Résistance française. Faisant partie de la Résistance française, il adopte le pseudonyme de Morin et continue de l’utiliser. Il est entré dans le Parti communiste français en 1941.

Apparence physique, taille, âge

Edgar Morin taille

Sa taille est de 1,64 mètre. Son poids s’élève à 69 kg.

Edgar Morin âge

Edgar Morin voit le jour le 8 juillet 1921. Il est aujourd’hui âgé de 101 ans (en 2022). Son signe astrologique est le Cancer.

Edgar Morin apparence physique

Ses yeux sont châtains. La coloration des cheveux est grise.

Famille, Ethnicité et Relations

Famille – Parents, frères et sœurs

Ses parents sont Luna Beressi et Vidal Nahum.

Relation d’Edgar Morin: Femme/Epouse/Compagnon/Copine/Enfants

Edgar Morin s’est remarié à deux reprises. Il s’est marié une première fois avec Edwige Lannegrace en 1982. Toutefois, ils se sont séparés en 2008 après s’être mariés pendant des années.

Après une réunion à un festival de musique à Fès, au Maroc, en 2009, Morin a abordé le professeur de sociologie Sabah Abouessalam. Le couple s’est marié en 2012. Il a collaboré avec elle sur le texte L’homme est faible devant la femme (2013) Changeons de voie – Les leçons du coronavirus (2020).

Morin est père de deux filles. Ce sont Véronique Nahoum-Grappe et Irène Nahoum.

Carrière

En 1946, Edgar Morin rentre à Paris et abandonne sa carrière militaire pour poursuivre ses activités dans le Parti communiste. En raison de sa posture critique, ses relations avec le parti se détériorent progressivement jusqu’à ce qu’il soit expulsé en 1951 après avoir publié un article dans L’Observateur politique, économique et littéraire. Cette même année, il entre au Centre national de recherche scientifique (CNRS).

Morin est le fondateur et le directeur de la revue Arguments (1954-1962). Son livre Autocritique a paru en 1959. Le livre était une réflexion soutenue sur son appartenance au Parti communiste et sa sortie subséquente, se concentrant sur les dangers de l’idéologie et de l’auto-illusion.

En 1960, Morin parcourt énormément l’Amérique latine, le Brésil, le Chili, la Bolivie, le Pérou et le Mexique. De retour en France, il publie L’Esprit du Temps, un ouvrage consacré à la culture populaire.

La même année, le sociologue français Georges Friedmann le réunit avec Roland Barthes pour la création du Centre d’études de la communication de masse. Après plusieurs changements de nom, c’est devenu le Centre Edgar Morin de l’EHESS, Paris.

Puis, Morin et Jean Rouch ont co-écrit Chronique d’un été, un exemple précoce de vérité et de cinéma direct. À partir de 1965, Morin se lance dans un grand projet pluridisciplinaire, financé par la Délégation générale pour la recherche scientifique et technologique de Plozévet.

En 1968, Morin succède au professeur titulaire de philosophie, Henri Lefebvre, de l’Université de Nanterre. Il s’engage dans les révoltes étudiantes qui commencent à apparaître en France. En mai 1968, il écrit une série d’articles pour Le Monde qui essaye de comprendre ce qu’il appelle la «Communauté étudiante».

Il a suivi de près la révolte étudiante et a écrit une deuxième série d’articles dans Le Monde, intitulée «La révolution sans visage», et il est aussi coauteur Mai 68 : La brèche avec Cornelius Castoriadis et Claude Lefort.

En 1969, il passe un an au Salk Institute for Biological Studies de La Jolla, en Californie. Jonas Salk l’invita sur les conseils de Jacques Monod et de John Hunt, à la seule condition d’être instruit.

Il publie De la nature de l’URSS, qui approfondit son analyse du communisme soviétique et précède la perestroïka de Mikhaïl Gorbatchev (1983).

En 2002, il participe à la création de l’école internationale d’éthique, de sciences et de politique. La même année, il part pour l’Iran avec Dariush Shayegan.

Oeuvres

1940 – 1950

1960 -1970

1980 -1990

2000 – 2010

2020 – Maintenant

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